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Microsoft vient d’éviter une lourde sanction financière de la Commission européenne, qui accusait le géant américain de pratiques anticoncurrentielles pour avoir lié son application Teams aux suites Office 365 et Microsoft 365. L’affaire remonte à 2020, lorsque Slack a déposé une plainte dénonçant l’« installation forcée » de Teams dans des millions d’entreprises. Après enquête, Bruxelles a donc accepté les engagements proposés par Microsoft, qui consistent à proposer des versions d’Office sans Teams à un tarif réduit, permettre aux clients détenteurs de licences longues de passer à ces offres, garantir l’interopérabilité avec des outils concurrents et offrir la portabilité des données de Teams vers d’autres solutions équivalentes.

Ces nouvelles mesures s’appliqueront durant sept ans, et même dix ans pour celles concernant l’interopérabilité et la portabilité des données. Microsoft avait déjà commencé à dissocier Teams d’Office en Europe dès 2023, puis à l’échelle mondiale en 2024, sous la pression croissante des régulateurs. Pour la Commission, cette décision marque une avancée significative dans la régulation d’un secteur crucial depuis la pandémie, où visioconférence et collaboration en ligne sont devenues essentielles. Les entreprises européennes pourront ainsi choisir librement la solution de communication qui leur convient, dans un marché où la concurrence s’annonce désormais plus équilibrée.
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