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Alors que l’anonymat sur Internet sert de planque aux pires comportements imaginables, les différentes plateformes en lignes et réseaux sociaux ont des méthodes différentes pour juger le contenu haineux, discriminatoire, et même criminel qui s’y trouve. Mais on dirait bien qu’en ce qui concerne les diffusions sur le territoire français, ces acteurs majeurs de l’industrie vont devoir s’aligner : quelques jours après l’assignation en justice de Twitter pour manque de modération, une loi vient d’être votée, avançant que les sites majeurs et autres réseaux sociaux n’auront plus qu’une heure à partir de la publication pour retirer le contenu jugé criminel, montrant par exemple des actes pédophiles ou terroristes.
Le contenu « manifestement illicite », quant à lui, devra être supprimé sous 24h, et les contrevenants devront payer une amende équivalente à 4% de leur revenu global annuel. Dans l’idée, il ne s’agit pas d’un mauvais projet : nettoyer ces plateformes n’est pas chose facile, mais reste nécessaire pour garantir une expérience décente à tous les utilisateurs, mais aussi une certaine forme de sécurité en ce qui concerne le contenu sensible. Cependant, cette loi est très ambitieuse, et s’avérera très certainement bien difficile à appliquer de façon concrète.
SOURCEreuters
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14 Sep. 2024 • 15:21
14 Sep. 2024 • 13:47
13 Sep. 2024 • 20:56
13 Sep. 2024 • 19:57
Mais en effet on peux dire que c’est un outil de censure où la police juge si un contenu est illicite et potentiellement menant à des abus, de plus que cette loi ne sera jamais respecté par un site, ce qui permettra de donner des coups de bâtons à qui on le souhaite et quand on le veux.
Mais bon après la fiche S, la loi renseignement, on ne s’étonne presque plus…
C’est comme la radicalisation, on nous dit qu’il faut tuer internet que c’est la raison de la radicalisation.
Mais il ne faut pas oublier qu’il y a 50 ans on se radicaliser dans les bars et que le même discours était servi.