TENDANCES
Comparateur
- AUTO
Les coupes sombres continuent chez le géant Embracer. Si l’on en croit le journaliste Stephen Totilo, l’éditeur nordique aurait supprimé 139 postes supplémentaires chez Lost Boys Interactive, un studio de développement basé aux Etats-Unis. C’est la seconde fournée de licenciements pour ce studio technique qui a notamment participé au développement de Tiny Tina’s Wonderlands, Diablo IV ou bien encore PUBG. Un gros background donc pour un studio essentiellement composé de cracks du code appelés en soutien de gros projets. Sachant que Lost Boys Interactive comptait jusqu’ici un peu plus de 200 employés, on est en droit de se demander si cette seconde vague de licenciement ne signera pas la fin définitive du studio.
C’est peu dire qu’Embracer est un habitué de cette gestion très particulière de son énorme stock de studios : sur les 12 derniers mois, l’éditeur a fermé le studio Pieces Interactive après l’échec du jeu Alone in the Dark, a fait subir le même sort au studio Free Radical en charge du jeu TimeSplitters 4, a dégraissé chez Beamdog et a revendu Gearbox à l’éditeur Take-Two. Embracer serait-il incapable de gérer ses nombreux studios après avoir tout fait pour devenir le plus gros éditeur existant ? On ne serait pas à une incohérence près…
Les dirigeants des grands groupes de la tech poussent sans doute un gros soupir de soulagement. Le président nouvellement élu Donald Trump...
Le secteur du numérique a connu un ralentissement en 2024 de sa croissance en France, d’après les résultats annuels...
En construction dans le désert d’Atacama au Chili, l’Extremely Large Telescope (ELT) s’annonce comme une prouesse technologique...
Qui aurait cru qu’après la réception très froide d’Overwatch 2, un jeu de shoot compétitif-GAAS, épuisant...
Succès improbable en salles (ou pas), Sonic retourne sur les écrans pour un troisième opus, et plutôt qu’un classique...
11 Dec. 2024 • 15:51
11 Dec. 2024 • 15:15
11 Dec. 2024 • 14:48
11 Dec. 2024 • 12:45