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Cela commence à ressembler au scénario d’un film : le Département de la Justice américain accuse Google d’avoir détruit des messages internes et l’historique de messages de chat, des éléments que la firme de Mountain View était pourtant censée préserver alors qu’elle fait l’objet de poursuites antitrust. Dans son rapport, le DoJ note que Google utilise un chatroom interne dont le contenu est effacé toutes les 24 heures alors même que les discussions qui y sont tenues concernent des « affaires sensibles et substantielles ».
En réponse à ces accusations Google a affirmé que l’auto-supression avait bien été retiré de son outil de chat depuis 2019, ce à quoi le DoJ a rétorqué que ces déclarations étaient un mensonge : Google aurait en fait décidé de vraiment arrêter de supprimer l’historique cette semaine, lorsqu’il a eu vent de possibles sanctions juridiques. En conséquences, le DoJ estime que Google a violé les lois fédérales et une audience doit être encore fixée pour préciser les sanctions relatives à ces manquements.
Pour rappel, Google est accusé par plusieurs états américains d’enfreindre les lois anti trust pour son monopole sur le moteur de recherche et la publicité en ligne ainsi que pour la collecte de données confidentielles sur Android. Le DoJ a d’ailleurs récemment attaqué Google en justice pour des infractions similaires.
SOURCEEngadget
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Quelle que soit l’amende infligée pour cette pratique, elle sera inférieure au centième des bénéfices généré par cette violation : contrairement à l’idée reçue, le crime paye. Tous les GAFAM le savent et c’est bien pour cela qu’ils sont aussi riches.