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En réponse aux préoccupations du département de la Justice (DOJ) des États-Unis concernant ses pratiques anticoncurrentielles, Google a présenté une série de propositions. Le DOJ avait suggéré que Google se sépare de son navigateur Chrome, parmi d’autres mesures pour favoriser la concurrence sur le marché des moteurs de recherche et des navigateurs.
Google a indiqué que ses propositions ne sont pas présentées à la légère, car elles entraîneraient des ajustements importants pour ses partenaires. L’entreprise précise que les changements proposés pourraient limiter la manière dont ces derniers choisissent le meilleur moteur de recherche pour leurs utilisateurs, imposant des restrictions aux contrats qui ont historiquement contribué à réduire les prix des appareils et à favoriser l’innovation dans les navigateurs concurrents. Selon Google, ces mesures ont été bénéfiques pour les consommateurs.
L’une des principales propositions de Google concerne Android, avec l’idée de permettre aux fabricants de smartphones de ne pas avoir à obtenir une licence pour le moteur de recherche de Google ou Chrome pour accéder au Play Store ou d’autres applications de Google. Ce changement viserait à éviter que Google n’impose des conditions restrictives pour les moteurs de recherche concurrents préinstallés ou de navigateurs tiers sur les appareils Android. De plus, Google propose que les partenaires puissent obtenir une licence des applications comme Google Play ou le moteur de recherche sans être contraints de prendre aussi Google Assistant.
Concernant la question des moteurs de recherche par défaut, Google souhaite conserver la possibilité de payer pour être le moteur par défaut dans des navigateurs comme Safari (Apple) ou Firefox (Mozilla). Cependant, la société propose de limiter ces contrats à une durée annuelle, permettant ainsi plus de flexibilité et de concurrence.
Enfin, Google s’oppose à l’idée de vendre Chrome ou Android, et estime que certaines propositions du DOJ, comme le partage des données de recherche avec des tiers pour faciliter la création de nouveaux concurrents, sont trop larges.
Les discussions se poursuivront lors d’une audience prévue en avril 2025, avant une décision qui pourrait intervenir d’ici septembre 2025. Google prévoit déjà de faire appel en cas de décision défavorable.
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