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De haute lutte, TSMC aurait donc obtenu une licence l’autorisant à nouveau à commercer avec Huawei… dans une certaine mesure. En effet, selon les termes de cette nouvelle licence, le fondeur pourrait seulement produire pour Huawei des processeurs obtenus via des « processus de gravure matures ». En d’autres termes, l’autorisation concerne des puces gravées à 28 nm et au delà ! Cela signifie bien évidemment que Huawei ne pourra pas utiliser ces composants dans ses smartphones, ordinateurs ou équipements réseau.
Malgré un contexte qui reste donc globalement très défavorable, Huawei présentera bientôt le Mate 40, son prochain smartphone HDG. Le fabricant disposerait cependant d’un stock limité de près de 8 millions de puces. Les nuages noirs s’amoncellent donc au dessus de Huawei, et les bonnes nouvelles sont rares. Certaines rumeurs laissaient entendre il y a peu qu’un accord était en cours de négociation entre Huawei et l’administration américaine, une « information » bien vite démentie par la Maison Blanche. Encore raté !
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