TENDANCES
Comparateur
- AUTO
Le hacker qui a piraté les données de 19,2 millions de clients de Free, dont 5,11 millions d’IBAN, aurait menti au sujet de la vente de la base de données. C’est ce que révèle un autre pirate ayant participé à l’opération.
Tout a commencé le mois dernier quand un hacker qui a pour pseudo Drussellx a publié sur un forum une annonce concernant le piratage de Free et plus particulièrement de la base données des clients. Il a mis en vente les informations. Pour prouver ses dires, il a également proposé gratuitement 100 000 IBAN de clients.
Quelques jours plus tard, Drussellx a affirmé avoir trouvé un acheteur et avoir vendu la base de données pour 175 000 dollars. Mais cette vente est remise en question aujourd’hui.
Un autre pirate, qui a pour pseudo YuroSh, a contacté DataBreaches pour clarifier la situation. Il dit avoir aidé à réaliser le piratage de Free. Comment le prouver ? Il a partagé des informations personnelles de Xavier Niel, le fondateur de Free, avec DataBreaches. Il a également pu mettre le site en contact avec Drussellx.
« Je crois savoir que cette base de données a fait l’objet de reportages à la télévision française pendant des semaines et j’aimerais clarifier quelques détails », déclare YuroSh. Il fait comprendre que lui et Drussellx ne sont pas parvenus à s’entendre sur ce qu’il fallait faire de la base de données.
Drussellx cherchait visiblement à faire payer une rançon à Free, mais YuroSh voulait mettre en avant la surveillance importante de certaines entreprises avec les données qu’elles disposent. Il déclare :
Chaque citoyen français a probablement été victime d’une fuite au moins une fois. Parmi les bases de données récemment piratées figurent Free, SFR, France Travail, Ameli, la CAF (Caisse d’allocations familiales), la FFF (Fédération Française de Football), Ledger, LDLC, Shadow et Cdiscount. Je ne suis pas un saint, mais j’espère que l’incident de free.fr réveillera enfin les Français sur la réalité de la surveillance de masse et qu’ils lutteront contre elle. La protection de la vie privée en France a été érodée à un point tel qu’elle est pratiquement inexistante. Cette situation va au-delà d’une simple violation, il s’agit d’un problème systémique, enraciné dans un gouvernement déterminé à imposer un État de surveillance. La majorité des gens ne réfléchissent pas aux pratiques de surveillance, alors même que les GAFAM et le gouvernement s’entendent pour contrôler tous les aspects de nos vies numériques.
YuroSh, qui fait plus penser à un hacktiviste qu’à un pirate malveillant, assure que les données n’ont jamais été vendues en réalité. Il ajoute avoir déjà contacté Free au sujet de failles de sécurité détectées au fil des années, mais le fournisseur d’accès a ignoré les signalements.
Ainsi, Drussellx et YuroSh auraient toujours les données des clients de Free. Le second affirme qu’elles sont conservées ou détruites.
Free Mobile annonce la disponibilité d’un nouveau forfait qui devrait plaire, puisque l’on retrouve une offre avec 130 Go en 5G pour...
SFR RED a décidé de frapper fort pour le Black Friday en proposant un gros forfait 5G de 300 Go pour seulement 9,99€/mois. Il est...
Free a décidé d’augmenter de 20% ses frais de résiliation pour les Freebox, en passant de 49 euros à 59 euros....
Aces of Thunder, le très prometteur jeu de combat aérien prévu pour le PSVR 2 et le PCVR (via Steam VR) vient d’être...
Le mois de novembre n’est pas encore terminé mais l’information ne pouvait visiblement pas attendre: Threads vient en effet de...
26 Nov. 2024 • 22:38
26 Nov. 2024 • 22:14
26 Nov. 2024 • 20:52
26 Nov. 2024 • 19:33
Donc « rien » à espérer de la part de cette class action à la française…
Apres encore une fois, mem si des pirates on t des Iban a part faire du fishing like la faille sera d’abord humaine (personne répondant par ex au telephone en donnant leur code ou autre) car sinoon coté banque, il ne pourra y avoir de gros retrait (la banque va verifier qu’il y a une signature de votre part, soit de petit montant et la banque pourra les laisser passer mais là à vous de dire à votre banque « je n’ai rien signé donc vous me remboursez ».)