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Les représentants juridiques de la société israélienne NSO Group ont été auditionnés mardi 21 juin devant la commission du Parlement européen chargée d’enquêter sur l’utilisation du logiciel espion Pegasus en Europe. Pour rappel, Pegasus est un spyware mobile dont certains gouvernements se sont servis afin d’espionner des hommes politiques (dont Emmanuel Macron), des journalistes, des juristes voire des activistes.
Cette audition a débouché sur un aveu assez terrible : L’avocat général du groupe NSO, Chaim Gelfand, a reconnu que NSO avait « commis des erreurs » et surtout, qu’au moins 5 pays de l’union européenne avaient utilisé le logiciel espion, un chiffre qui n’est pas encore définitif ! A noter que le contrat signé avec l’un de ces 5 pays a été résilié par Pegasus pour des « pratiques abusives ». On croit rêver…
L’implication de NSO dans ces écoutes massives est telle que les propos de l’avocat de la société, y compris devant la Commission du Parlement européen, doivent être pris avec les pincettes d’usage. Il en va de même pour les suggestions de NSO Group concernant le « bon » usage des logiciels espion, des « conseils » qui passeraient sans doute beaucoup mieux s’ils ne provenaient pas du principal intéressé/impliqué.
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