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Facebook a pris la décision de ne rien toucher pour ses règles de publicités politiques. Elles seront toujours d’actualité en 2020 (importante année pour les élections présidentielles américaines) et Facebook continue de dire qu’il ne fera aucune vérification. Autrement dit, un politique peut mentir dans sa publicité et celle-ci sera diffusée par Facebook parce que le réseau social ne compte pas faire une vérification des faits.
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« Nous basons nos principes sur le fait que les gens puissent entendre ceux qui ont vocation à les diriger, le bon grain comme l’ivraie, et que ce qu’ils ont à dire soit passé au crible et débattu en public », indique Facebook. La société réitère que ce n’est pas à une compagnie privée de prendre la décision de censurer tel ou tel politicien. Mark Zuckerberg et ses équipes préfèrent appeler « à une réglementation qui s’applique à tout le secteur ».
Facebook tire l’essentiel de ses revenus et de ses bénéfices de sa capacité à cibler de manière extrêmement précise une audience donnée. Un avantage qui n’a notamment pas échappé aux candidats à la présidentielle américaine, qui dépensent d’importantes sommes sur le réseau pour la publicité.
Twitter a décidé pour sa part de bannir les publicités politiques du réseau. Google a adopté une position intermédiaire en annonçant fin novembre un durcissement de ses règles en matière de publicités politiques, tout en refusant de statuer sur leur véracité sauf cas exceptionnels.
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