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Electronic Arts n’a pas particulièrement brillé lors du dernier salon de l’E3; le géant du jeu vidéo peine à convaincre totalement avec sa stratégie du game as service, et ce ne sont pas les affaires récentes de loot boxes abusives (SW: Battlefront II notamment) qui rassureront vraiment les joueurs.

Dans le cadre d’une Commission parlementaire britannique travaillant sur les phénomènes d’addiction dans le jeu vidéo, Kerry Hopkins, la vice-présidente des affaires juridiques d’Electronic Arts a osé une comparaison improbable pour justifier le recours massif aux loot boxes : « Si vous allez dans un magasin qui vend de nombreux jouets et que vous cherchez un jouet surprise, vous trouverez que c’est quelque chose que beaucoup de gens adorent – ils adorent les surprises. C’est quelque chose qui fait partie du secteur du jouet depuis des années, que l’on parle de Kinder Surprise, des peluches Hatchimals ou des poupées LOL Surprise ».
Comparer le contenu d’une loot boxe, dont le contenu peut largement avoir un impact sur l’armement ou les compétences de son personnage, et des mini-jouets disponibles au hasard dans un coffret-surprise, reste pour le moins osé, pour ne pas dire plus. D’ailleurs, à quoi reconnait-on un très gros éditeur qui n’en a plus grand chose à faire de l’avis des joueurs ? Il ose tout (et c’est même à ça qu’on le reconnait).
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