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L’Iran a décidé de sévir concernant Telegram, à l’instar de la Russie il y a peu. La justice iranienne a ordonné le blocage de la messagerie chiffrée parce que celle-ci est accusée d’héberger des groupes d’oppositions armés ou violents et refuse de coopérer avec les autorités compétentes. Les fournisseurs d’accès à Internet doivent maintenant appliquer ce blocage.
Détail intéressant, la justice iranienne impose d’empêcher tout accès à Telegram via un VPN. Cette méthode est généralement utilisée lorsqu’un blocage est mis en place sur un service nécessitant Internet, le VPN permet d’utiliser une adresse IP située dans un autre pays. Si cette règle n’est pas respectée, « cela sera considéré comme une contravention à l’ordre de la justice et poursuivi », estime la justice.
Mizan Online, l’agence de presse de l’Autorité judiciaire, ajoute que le tribunal a agi sur la base de nombreuses plaintes contre Telegram, reconnu coupable entre autres de « perturbation de l’unité nationale », d’« incitation à la révolte », d’« espionnage », de propagation « d’écrits et de contenus obscènes […] encourageant la corruption et la prostitution », d’insulte à l’islam ou encore d’« action contre la sécurité nationale de la part des groupes terroristes ».
Il faut savoir que l’Iran compte 40 millions d’utilisateurs de Telegram, soit près d’un Iranien sur deux. Le pays a déjà ordonné à tous les organes de l’État de cesser d’utiliser Telegram à la mi-avril.
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