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Un juge de Nouvelle-Zélande a donné son accord pour l’extradition de Kim Dotcom, fondateur de Megaupload, vers les États-Unis. La plateforme de stockage en ligne, fermée en 2011 par le FBI, était bien connue pour stocker de nombreux films, musiques, séries et plus, le tout de manière illégale. Le pays d’Amérique accuse le principal intéressé de fraude, de blanchiment et de racket.
Après un procès qui a duré neuf semaines, le juge Nevin Dawson a estimé qu’il existait des preuves « accablantes » contre Kim Dotcom, qui tente depuis quatre ans d’éviter d’être envoyé aux États-Unis. En arrivant devant un tribunal d’Auckland pour y entendre le jugement, Kim Dotcom a lancé à la presse « C’est Noël. Voyons ce que le père Noël a dans sa hotte ». Ce n’a pas été un joli cadeau pour lui à l’arrivée.
Sans surprise, Kim Dotcom a annoncé qu’il allait faire appel de la décision. Il n’est pas le seul concerné par l’extradition, des collaborateurs sont aussi visés. Il s’agit de Finn Batato, Mathias Ortmann et Bram van der Kolk.
La justice a donné son aval, il faut maintenant que la ministre néo-zélandaise de la Justice Amy Adams donne son feu vert. Si l’extradition de Kim Dotcom se fait, il est susceptible d’écoper de 20 ans de prison aux États-Unis.
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17 Oct. 2025 • 20:51
Les meurtriers prennent moins que ca.
Encore une belle justice.