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Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free Mobile vont tous les quatre couvrir 100% du territoire français d’ici les prochaines années. Le but est de viser les zones blanches, il s’agit des lieux où aucun opérateur ne propose son réseau. La raison la plus fréquente est la difficulté à l’installer (montagnes, etc). Il y a aussi les coûts parce que peu d’abonnés utiliseraient les antennes au final, contrairement aux villes où c’est largement rentabilisé.

Axelle Lemaire, la secrétaire d’État au numérique, a évoqué ce sujet lors d’une séance de questions au gouvernement à l’Assemblée nationale. A la réponse d’un député du Nord, elle a fait savoir que le gouvernement « sera très ferme » sur l’engagement des opérateurs pour mettre fin aux zones blanches. « Malheureusement, la fusion entre SFR et Numericable a fait prendre du retard dans le déploiement à Lille », a-t-elle ajouté. « C’est la raison pour laquelle le gouvernement sera très ferme en exigeant des opérateurs qu’ils remplissent leurs engagements ».
Fin mai, les opérateurs ont trouvé un accord pour couvrir les zones blanches. D’ici la mi-2017, la 3G sera proposée dans les communes qui ne sont pas couvertes à ce jour. Et d’ici la fin 2016, il y aura au moins la 2G pour passer des appels.
La secrétaire d’État au numérique a pour ambition de faire de la France « le pays le plus connecté d’Europe d’ici dix ans ». Elle sait que cela représente un coût très important, mais c’est le but du gouvernement.
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si notre gouvernement était ferme ça se saurait