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Décidément, les sociétés françaises semblent dans le viseur des hackers depuis quelques semaines : Boulanger, Free, ou bien encore SFR ont été victimes de vols de données ces derniers jours/semaines, une multiplication des cyberattaques qui commence à interroger sur le niveau de sécurisation des serveurs des grandes entreprises.C’est bien simple, tout se passe comme si les groupes de pirates s’étaient passés le mot et estimaient désormais que la France est un terrain de chasse « facile ». Cette fois donc, c’est au tour de l’hebdomadaire Le Point d’être touché par une attaque informatique d’ampleur.

Un pirate aurait confirmé avoir récupéré les données de 900 000 personnes, soit les noms et prénoms, les numéros de téléphone/mobile, ainsi que les adresses mails ou physiques. La rançon demandée pour ne pas publier l’intégralité des datas s’avère dérisoire : le hacker demande à peine 350 euros pour ce gros larcin, ce qui semble indiquer que l’objectif était peut-être avant tout d’alerter la Le Point sur la faible sécurité de ses serveurs.
« Nous prenons cette cyberattaque contre l’un de nos partenaires avec le plus grand sérieux et mettons tout en œuvre pour protéger les données de nos lecteurs. » a déclaré François Claverie, directeur général délégué de Sebdo Le Point. « Dans un contexte où les médias sont particulièrement ciblés par les pirates informatiques, cet incident nous rappelle que personne n’est à l’abri. Notre rédaction, qui n’a pas été touchée, poursuit son travail d’information en toute indépendance, pendant que nous renforçons nos dispositifs de cybersécurité «
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