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Toutes les vidéos (reel, story, etc) ne sont pas logées à la même enseigne chez Instagram. En effet, le réseau social a révélé que la meilleure qualité visuelle est uniquement proposée sur les contenus qui sont populaires. Les autres seront un peu plus flous.
C’est Adam Mosseri, le patron d’Instagram, qui @lindseygamble_/post/DBkEJmJvprg" rel="external nofollow">a évoqué la qualité des vidéos selon la popularité :
En général, nous voulons montrer la vidéo de la meilleure qualité possible. Mais si une vidéo n’est pas regardée pendant une longue période — car la grande majorité des vues se font au début — nous passerons à une vidéo de moindre qualité. Puis, si la vidéo est de nouveau regardée en grand nombre, nous afficherons de nouveau la vidéo de meilleure qualité.
Dans @mosseri/post/DBmuQaIP-Q8?xmt=AQGzMcoJTajdK4dS4gfBv7SJBfPs5h1TAx-Ma84165CHPg" rel="external nofollow">un autre message, il ajoute :
Cela fonctionne à un niveau agrégé et non au niveau du spectateur individuel. Nous privilégions une meilleure qualité (encodage plus intensif pour le processeur et stockage plus coûteux pour les fichiers plus volumineux) pour les créateurs qui génèrent plus de vues. Il ne s’agit pas d’un seuil binaire, mais plutôt d’une échelle mobile.
Toujours selon le patron d’Instagram, la qualité des vidéos peut être un élément important pour le créateur qui a posté le contenu. Mais il ne pense pas que ce soit si important que cela pour les utilisateurs qui regardent la vidéo. « La qualité semble être beaucoup plus importante pour le créateur original, qui est plus susceptible de supprimer la vidéo si elle est de mauvaise qualité, que pour les spectateurs », @mosseri/post/DBmv6HuPOp-?xmt=AQGzMcoJTajdK4dS4gfBv7SJBfPs5h1TAx-Ma84165CHPg" rel="external nofollow">dit-il. Il assure au passage que la différence de qualité entre une vidéo populaire et une vidéo qui ne l’est pas « n’est pas énorme ».
Cela correspond à la façon dont Meta (maison-mère d’Instagram et Facebook) a décrit son approche auparavant. En 2021, l’entreprise prévoyait qu’elle ne serait pas en mesure de faire face au nombre croissant de vidéos mises en ligne sur la plateforme. Meta a estimé l’année dernière qu’elle servait 4 milliards de flux vidéo par jour sur Facebook.
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