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Broadcom a finalisé avec succès son rachat de VMware pour 61 milliards de dollars après avoir reçu l’approbation des principaux régulateurs, dont la Chine, avec cependant certaines restrictions. Cette acquisition permet à Broadcom, spécialiste des puces réseau, de renforcer sa présence (déjà imposante) dans les centres de données, les services cloud et l’infrastructure réseau.

L’accord de fusion a fait l’objet d’un examen particulièrement minutieux des autorités antitrust en raison des risques de préjudices potentiels sur la concurrence et le principe d’interopérabilité. Malgré ces craintes, Broadcom a obtenu l’autorisation de fusion en Australie, au Canada, dans l’Union européenne, au Japon, en Corée du Sud, au Royaume-Uni et dans bien d’autres pays encore…
La Commission européenne avait elle aussi exprimé ses inquiétudes quant à un éventuel comportement anticoncurrentiel, mais Broadcom y a répondu en fournissant un accès IP et un code source à son principal rival, Marvell. La procédure de rachat se déroulait aussi dans un contexte de vives tensions entre la Chine et les États-Unis, mais la Chine a finalement donné son feu vert… assorti de certaines conditions : sur le marché chinois, Broadcom devra ainsi garantir l’interopérabilité du logiciel serveur de VMware avec les plateformes hardware concurrentes.
SOURCEEngadget
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