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Le tribunal judiciaire de Paris a contraint Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free à bloquer cinq sites de piratage de jeux pour Nintendo Switch. Le blocage est actif dès maintenant.

Le blocage des sites de piratage de jeux comprend www.nsw2u.xyz, www.nsw2u.net, www.nsw2u.com, www.nsw2u.org et www.nsw2u.site. Comme souvent, il s’agit d’un blocage au niveau des DNS. Ceux qui n’utilisent pas les DNS du fournisseur d’accès peuvent donc toujours accéder aux sites en question. D’ailleurs, les sites peuvent faire appel de la décision de justice, rapporte Ouest-France.
Nintendo dit intenter ce type d’action en justice « non seulement en son nom, mais aussi au nom de nombreux développeurs de jeux vidéo dont les revenus dépendent de la vente licite de jeux pour Nintendo Switch ». Le groupe ajoute que cette pratique « nuit aux fonctionnalités et à l’expérience des produits authentiques de Nintendo, qu’il s’agisse de jeux vidéo ou de consoles Nintendo Switch. Par exemple, télécharger et jouer à des versions pirates peut entraîner l’exécution de code potentiellement dangereux sur la console de l’utilisateur, l’exposant ainsi à un risque ».
Il faut savoir qu’il existe un hack de la Nintendo Switch, ce qui permet de jouer aux jeux piratés. Ce hack est possible grâce à une faille matérielle et non logicielle au niveau de la puce Nvidia de la console, signifiant que Nintendo ne peut pas la boucher, même avec une mise à jour. Cela a concerné les Switch vendues jusqu’à l’été 2019. Après cela, Nintendo a discrètement modifié le composant fautif et les consoles disponibles depuis cette date n’embarquent plus la faille matérielle.
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