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Ces derniers temps, les affaires mettant directement en cause ce qui est publié par une personne sur les réseaux sociaux sont de plus en plus fréquents. Rappelez-vous par exemple de cette espagnole qui a envoyé un ensemble de tweets insultants et qui s’est vue attaquée en justice (Lire : Twitter : une jeune espagnole reconnue coupable d’incitation au terrorisme). Cette fois-ci, c’est l’autre grand réseau social, Facebook, qui est en cause.

David Snay, un américain âgé de 69 ans et qui était travaillait pour Gulliver (une école) en tant que proviseur, a attaqué son ancien employeur en justice pour licenciement abusif et a remporté des dommages et intérêts s’élevant à 80 000 dollars, soit près de 57 000 euros. Jusqu’ici, rien de bien spécial, mais il était stipulé noir sur blanc que l’accord est confidentiel. Sa fille n’a malheureusement pour lui pas résisté à l’envie de mettre ses 1200 amis sur Facebook au courant : « Les Snay ont remporté la victoire. C’est officiel maintenant, Gulliver se charge de payer mes prochaines vacances en Europe cet été. »
Une décision qui n’a pas du tout plu au juge, et à cause de ce statut, l’homme ne touchera pas la somme en question. Il pourrait s’agir là, tout simplement, du statut Facebook le plus cher de tous les temps, rien que ça. Morale de cette histoire, comme souvent dans ce genre d’affaires : il faut faire très attention à ce que l’on publie sur Facebook ou Twitter et surtout, bien expliquer aux enfants / adolescents la portée de leurs actions.
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