TENDANCES
Comparateur
- AUTO
Le bureau français d’Activision Blizzard, situé à Versailles, va fermer ses portes. Le groupe de jeu vidéo a fait l’annonce ce matin aux employés français, révèle Bloomberg.
400 employés étaient présents dans le bureau versaillais en 2019. Ils assurent le marketing, l’assistance à la clientèle, la localisation des jeux dans différentes langues et d’autres fonctions pour les jeux publiés par Activision Blizzard en Europe. Le groupe avait au départ pour projet de transférer la moitié de son effectif français à Londres, mais c’est finalement abandonné. Pourquoi ? À cause du Brexit, essentiellement. À cela s’ajoute le Covid-19 qui n’aide pas du tout.
Les employés ont appris aujourd’hui la fermeture des bureaux, mais ils devront attendre la semaine prochaine pour connaître tous les détails. Ce sera notamment l’occasion de savoir si certains d’entre eux vont être envoyés dans d’autres branches ou s’ils perdront complètement leurs emplois.
Le bureau de Versailles a en tout cas été secoué ces derniers temps. L’année dernière, Activision Blizzard avait annoncé la suppression de 134 emplois. « Même si nos résultats de 2018 sont les meilleurs de notre histoire, nous n’avons pas réalisé tout notre potentiel », expliquait Bobby Kotick, le patron d’Activision Blizzard, pour justifier les licenciements.
Activision Blizzard n’a pas encore réagi publiquement à la fermeture du bureau à Versailles.
Le gouvernement français relance son initiative visant à interdire l’accès aux réseaux sociaux pour les mineurs de moins...
Les nouvelles hausses de tarifs douaniers aux États-Unis continuent de perturber l’industrie du jeu vidéo. La société...
Rebecca Kelly Slaughter, l’ex commissaire démocrate de la Federal Trade Commission (FTC), a été réintégrée...
OpenAI annonce une étape dans l’évolution de ses infrastructures : ChatGPT fonctionnera désormais en partie sur les services...
Contraband (un jeu au contenu encore très mystérieux) se faisait tout petit depuis la vague de licenciements qui a mis des centaines de...
Un commentaire pour cet article :