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L’appel de Christchurch. Tel est le nom donné à une série d’engagements qui ont été signés aujourd’hui à Paris entre plusieurs pays et géants du Web.

L’appel de Christchurch engage les gouvernements et les entreprises du secteur de la technologie à éliminer les contenus terroristes et extrémistes en ligne. Il repose sur une conviction : un Internet ouvert, libre et sûr. Parmi les groupes technologiques partenaires, il y a Amazon, Dailymotion, Facebook, Google, Microsoft, Qwant (moteur de recherche français), Twitter ou encore YouTube. Près de 20 pays ont signé l’appel, mais les États-Unis ont décidé de ne pas s’allier. « Nous préférerons renoncer à l’unanimité qu’avoir un texte vide », indique-t-on du côté du pays d’Amérique du Nord.
Les entreprises et États soutenant l’appel de Christchurch se sont engagés à promouvoir des actions locales, accélérer la recherche de solutions pour prévenir le téléchargement, la détection et le retrait des contenus en cause, coopérer avec la police et la justice et élaborer des procédures de réaction rapide.
Cet appel fait suite aux attentats qui ont eu lieu à Christchurch en Nouvelle-Zélande en mars dernier. Un homme a diffusé en direct sur Facebook son massacre qui a consisté à tuer 51 personnes dans des mosquées.
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