TENDANCES
Comparateur
- AUTO
La situation se complique; après les Etats-Unis et l’Australie, et alors que l‘Allemagne voire la France semblent encore hésiter, c’est au tour de la Nouvelle-Zélande de faire barrage à Huawei pour le déploiement de son réseau 5G. Le GSBC (équivalent de la FTC américaine) a sommé l’opérateur local Spark de ne pas travailler avec Huawei en raison des risques que le fabricant chinois ferait peser sur la sécurité au pays. Les soupçons de collision entre Huawei et les agences de renseignement chinoises auront pesé très lourd dans cette décision radicale.
Du côté de Huawei la déception doit être grande, d’autant plus que le numéro deux mobile avait débuté les premiers tests 5G dans la ville d’Auckland et avait affirmé son intention d’investir lourdement dans les infrastructures locales (280 millions de dollars).
Le « No Go » de la Nouvelle-Zélande semble aller dans le sens de rumeurs tenaces qui font état de pressions américaines sur ses alliés (afin de bloquer Huawei). Andrew Little, le ministre néo-zélandais de la justice, a démenti ces informations en rappelant que le GCSB était une entité totalement autonome. Il n’en reste pas moins que le scénario d’un effet « domino » commence à se dessiner, ce qui pourrait faire perdre à Huawei sa place de premier équipementier Telecom mondial.
Sosh annonce une bonne pour ses clients : certains forfaits ont maintenant le droit à 200 Go en 5G au lieu 140 Go comme c’était...
YouTube poursuit sa croisade contre les bloqueurs de publicités, ce qui suscite de nombreuses plaintes de la part des utilisateurs. Une nouvelle...
Après avoir rétroactivement abaissé le score de réparation de la Nintendo Switch originale de 8/10 à 4/10 pour...
Google a annoncé que son navigateur Chrome a obtenu le meilleur score jamais enregistré lors du test de performance Speedometer 3. Ce...
L’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (Arcom) envisage des sanctions contre Aylo,...
Un commentaire pour cet article :