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L’industrie du jeu vidéo s’est massivement tournée vers le free-to-play ou le système des loot-boxes, un choix qu’elle pourrait bien vite regretter. Car dans la tourmente qui a suivi l’interdiction aux mineurs des loot-boxes en Belgique, les autorités de régulation de nombreux pays sont sorties du bois : une déclaration commune signée par les régulateurs de quinze pays européens ainsi que par l’Etat de Washington, propose un « dialogue constructif » avec les éditeurs de jeu, mais les termes employés ne laissent guère de doutes quant à la volonté des états de reprendre la main sur un système économique laissé à la libre appréciation des studios et éditeurs de jeux vidéo.
Cette déclaration a été publiée lors du forum européen des régulateurs des jeux d’argent (GREF), et parmi les pays signataires, on retrouve sans surprise la France mais aussi l’Espagne, le Royaume-Uni ou bien encore l’Autriche. En France, c’est l’Autorité de régulation des Jeux en ligne (Arjel) qui se dit « préoccupée par les risques que fait naitre la porosité des frontières entre le jeu d’argent et le jeu vidéo« . Si les régulateurs ne ferment pas la porte aux débats avec les éditeurs, ils rappellent aussi la prééminence des cadres juridiques nationaux, une façon de mettre la pression sur les éditeurs et de les pousser à une certaines modération après les dérapages de ces derniers mois (affaire des loot-boxes de Star Wars Battlefront II).
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cela fait perdre de la crédibilité à l’article.