TENDANCES
Comparateur
- AUTO
C’est un fait connu, les animaux n’ont pas la même facilité que nous à exprimer la douleur, et il faut observer des signes bien particulier pour arriver à déterminer ce qui ne va pas. Mais ça pourrait vite changer, notamment grâce au projet de chercheurs de l’Université de Cambridge qui travaillent sur un logiciel de reconnaissance faciale qui peut détecter le niveau de douleur d’un mouton uniquement en analysant son expression.
Les moutons ont des expressions bien caractérisées quand ils ressentent de la douleur, à tel point que des scientifiques ont mis au point l’Echelle d’Expression Faciale de la Douleur des Moutons (acronyme SPFES en anglais). Mais ces expressions sont parfois nuancées, et apprendre à un humain à les reconnaître est un travail long et fastidieux qui de plus n’est pas sans faille. C’est là que rentre en jeu le logiciel.
Il effectue son travail en plusieurs étapes: « Reconnaissance faciale du mouton, localisation de repères faciaux, comparaison à la norme et extraction des particularités faciales« . Chacune de ces étapes correspond à un niveau différent sur la SPFES.
Les chercheurs avancent une moyenne de réussite avoisinant les 67%, et peuvent d’après eux progresser considérablement avec plus de données. Si ce n’est pas un taux extraordinaire, ce pourrait bien être le début de tous nouveaux moyens de diagnostiquer et traiter les animaux avec plus de précision pour les vétérinaires.
La justice a ordonné aux moteurs de recherche Google et Bing de ne plus faire remonter les sites de streaming ou d’IPTV diffusant...
Microsoft teste actuellement la possibilité d’utiliser des fonds d’écran sous forme de vidéos sur Windows 11. Cette...
Nvidia s’apprête à investir 100 milliards de dollars dans OpenAI pour soutenir la création de nouveaux data centers et des...
Oracle a annoncé il y quelques heures une profonde modification de son organigramme : Clay Magouyrk et Mike Sicilia ont ainsi été...
eBay vient d’annoncer l’acquisition de Tise, un « marketplace » social spécialisée dans la mode de seconde...
2 commentaires pour cet article :