TENDANCES
Comparateur
- AUTO
C’est un premier signe d’apaisement, même si la situation globale du lanceur d’alerte reste précaire. En réponse aux inquiétudes de la Haute Cour de justice du royaume-Uni, les Etats-Unis viennent en effet de promettre qu’ils ne condamneraient pas à mort Julian Assange si ce dernier venait à être extradé. Une journaliste du New York Times a publié le texte envoyé aux autorités du Royaume-Uni :
1. ASSANGE ne subira aucun préjudice en raison de sa nationalité à l’égard des arguments de défense qu’il pourra invoquer au procès et lors de la détermination de la peine. Plus précisément, s’il est extradé, ASSANGE aura la possibilité de faire valoir et de chercher à s’appuyer lors du procès (qui inclut toute audience de détermination de la peine) des droits et protections accordés en vertu du premier amendement de la Constitution des États-Unis. La décision quant à l’applicabilité du premier amendement relève exclusivement de la compétence des tribunaux américains.
US has filed assurances in Assange extradition case, which were requested by a British court before it makes a final decision on his ability to appeal. Next step is a hearing on May 20. More on what those assurances are all about in our earlier story here: https://t.co/8ehvD0iHus pic.twitter.com/420CMZP0Wp
— Megan Specia (@meganspecia) April 16, 2024
2. Une condamnation à mort ne sera ni demandée ni prononcée contre ASSANGE. Les États-Unis sont en mesure de fournir cette assurance dans la mesure où ASSANGE n’est pas accusé d’un délit passible de la peine de mort, et ils assurent qu’il ne sera pas jugé pour un délit passible de la peine de mort. Voilà qui est clair.
Si le terrain a bien été déblayé concernant le risque de peine capitale, les autorités américaines semblent ne pas être en mesure de garantir qu’Assange bénéficiera de la protection du premier amendement, n’étant pas lui même citoyen américain. La situation d’Assange pourrait cependant s’améliorer beaucoup plus vite que prévu. Interrogé sur cette affaire la semaine dernière, le président américain Joe Biden a ouvert pour la première fois la voie à un abandon des poursuites contre Assange ; « Nous y réfléchissons » avait-il alors déclaré aux journalistes.
Pour rappel, Julian Assange est poursuivi par la justice américaine pour la publication via Wikileaks de documents militaires top secrets relatifs à la guerre en Irak (entre autres…). Au titre de la Loi relative à l’espionnage datant de 1917, Julian Assange encourt jusqu’à 175 ans d’emprisonnement.
C’est la semaine du Black Friday,l’avant dernière semaine du mois de novembre, qui est une période de grosses promotions pour...
La tablette Pixel Tablet 2 ne verra visiblement pas le jour, avec Google ayant décidé d’annuler sa sortie. Le modèle existant,...
Jessica Rosenworcel, la première femme à occuper le poste de présidente permanente de la FCC (Federal Communications Commission),...
Une plainte fédérale ciblant la loi du Minnesota « Utilisation de la technologie Deep Fake pour influencer une...
Le département de la Justice (DOJ) des États-Unis a officiellement estimé aujourd’hui que Google doit vendre Chrome. Cela fait...
21 Nov. 2024 • 22:43
21 Nov. 2024 • 20:09
21 Nov. 2024 • 18:56
21 Nov. 2024 • 18:44
Officieusement, ils feront comme ils voudront, les « accidents » ça arrive, surtout quand c’est provoqué.