TENDANCES
Comparateur
- AUTO
Depuis novembre dernier, la Russie bloque l’accès à LinkedIn. Le réseau social est accusé de violer une loi controversée concernant le stockage des données. Les deux partis ont tenté de discuter pour mener à un accord, mais celui-ci n’a pas été trouvé.

Roskomnadzor, l’autorité russe de régulation des télécommunications, a indiqué avoir reçu une lettre de LinkedIn l’informant que le réseau social n’était pas disposé à mettre en œuvre les dispositions encadrant le stockage de données. La législation russe prévoit que les sites Internet qui conservent les données personnelles de citoyens russes le fassent sur des serveurs implantés en Russie, une disposition à laquelle LinkedIn ne s’est pas conformée.
De son côté, LinkedIn estime qu’il respecte toutes les lois en vigueur en Russie. Il espère toujours que son service sera de nouveau accessible sur place un jour ou l’autre, mais l’affaire semble mal partie pour l’instant si le réseau social campe sur ses positions et ne fait pas le moindre changement demandé.
Pour rappel, LinkedIn est une propriété de Microsoft depuis peu. Microsoft a déboursé 26 milliards de dollars pour acquérir le réseau social qui dispose de 460 millions d’utilisateurs dans le monde.
C’était inévitable et c’est désormais une réalité : Google commence à afficher des publicités...
L’an dernier, Qualcomm avait juré que les jeux fonctionneraient sans problème sur ses PC portables sous Windows Arm avec le processeur...
Agile Robots, une start-up munichoise spécialisée dans la robotique alimentée par l’IA, vient de lancer son tout premier robot...
OpenAI fait savoir que les discussions de groupe dans ChatGPT sont maintenant disponibles pour tous les utilisateurs dans le monde. Il y avait eu un test...
21 Nov. 2025 • 16:30
On retrouve le même son de cloche en Europe avec le Privacy Shield qui perd pied chaque jour un peu plus. Et ce n’est pas l’administration Trump qui va faire changer la donne.
Au final, ne pouvant garantir les mêmes protection aux USA qu’en Europe, les Entreprises américaines devront certainement stocker les données sur le sol Européen.