TENDANCES
Comparateur
- AUTO
Reconnaissons-le, on a un peu tendance à voir la mariée technologique très belle de l’autre côté de l’atlantique : les Google Car nous font rêver, tout comme les belles Tesla et leur mode semi-autonome (même si cela n’empêche pas les accidents mortels); on en oublierait presque qu’il existe en France des entreprises déjà très avancées dans le secteur des véhicules autonomes, à l’instar de Navya et ses navettes électriques Navya Arma.
Ces mini-bus sans chauffeurs circuleront à Lyon dès le 3 septembre prochain, près du Pôle de commerce et de loisirs. Les navettes Navya Arma ne circuleront pas au milieu des autres véhicules (législation française oblige) mais sur des voies dégagées et emménagées, une façon de limiter les accidents tout en continuant de faire progresser la technologie.

Que les lyonnais encore inquiets se rassurent tout à fait : les navettes Navya Arma ont déjà été testées évaluées à la centrale nucléaire de Civaux ainsi que sur le Campus de l’EPFL à Lausanne (en Suisse); de plus, les performances restent encore modestes : les mini-bus rouleront à la vitesse maximale de 45 km/h (moteur de 15 kW) tandis qu’une caméra 3D, un GPS, un LIDAR et bien sûr une « IA » embarquée assureront la partie technique en toute sécurité. Chacun des deux Navya Arma (capacité 15 personnes) effectuera un parcours de 1,3 kilomètres (trois arrêts sont prévus). Mais le point essentiel est bien que toutes les villes intéressées peuvent désormais se lancer dans l’aventure : le Navya Arma est proposé à la vente à 220 000 euros l’unité.
La fibre à 8 Gb/s s’installe progressivement dans le paysage des box internet en France avec déjà 10 millions de...
Disney et Lucasfilm ont confirmé le retour au cinéma de la version originale de Star Wars, épisode IV : Un nouvel espoir, tel...
La Russie poursuit son isolement numérique en interdisant l’accès à Snapchat, une décision qui s’ajoute à...
MédecinDirect, une plateforme de téléconsultations médicale, annonce avoir fait l’objet d’un piratage. Cette fuite...
Malgré une baisse historique de 35 % de l’audience des sites illégaux entre 2021 et 2025, l’Arcom entend intensifier sa lutte...
Un commentaire pour cet article :