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La décision passe mal : à l’instar des grands groupes de la tech américaine, l’opérateur Free avait décidé il y a quelques semaines de mettre un terme au télétravail, notamment dans ses centres d’appels où ce mode de fonctionnement était le plus utilisé par les salariés du groupe. L’opérateur français s’était justifié en invoquant des soucis de sécurité liés au télétravail, une explication rattachée aussi à la cyberattaque de grande ampleur dont Free a récemment été victime (19 millions de comptes de clients Free dans la nature). Malgré ces justifications, le syndicat CGT a estimé que l’obligation du retour au bureau n’était pas nécessaire, d’autant que les centres de Certicall à Marseille, Centrapel à Paris et Equaline à Bordeaux, qui emploient près de 1400 salariés au global, ont perdu la moitié de leurs effectifs en quelques années.
Le syndicat note en outre que de nombreux télétravailleurs ont accepté leur poste chez Free principalement grâce à cette promesse du travail à distance, et que les sacrifices (notamment géographiques) inhérents à un retour au bureau pousseront à des démissions en masse… ce qui serait l’objectif caché de l’opérateur (toujours selon le syndicat). Free n’a pour l’instant pas vraiment répondu aux préoccupations du syndicat et des salariés concernés, se contentant de mettre sur la table une prime de 500 euros (soit une misère pour tous ceux qui se retrouvent dans l’obligation de devoir déménager pour garder leur poste). En conséquence de ce blocage, plusieurs salariés des centres d’appels de Free se sont mis en grève.
SOURCEiGen
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