TENDANCES
Comparateur
- AUTO
Deux ans à peine après l’achat du studio, l’éditeur Embracer Group s’apprêterait déjà à revendre Gearbox, à qui l’on doit le FPS culte Borderlands mais aussi plus récemment Remnant 2. L’objectif (trivial) de cette revente serait générer des revenus frais après l’échec d’un accord de financement majeur plus tôt cette année. Bien qu’Embracer explore activement la possibilité de vendre Gearbox, il est important de noter qu’aucune décision ferme n’aurait encore été prise à ce sujet.
Pour rappel, Embracer Group a connu quelques années turbulentes marquées par une vaste série d’acquisitions. L’éditeur se retrouve à la tête d’un énorme package de sociétés comprenant notamment Dark Horse Comics, Crystal Dynamics (Tomb Raider), Gearbox donc, sans oublier les droits de franchise sur Le Seigneur des Anneaux et The Hobbit.
Ces rachats ont coûté très cher à Embracer, et l’éditeur s’est retrouvé le bec dans l’eau lorsqu’un accord d’investissement de 2 milliards de dollars, impliquant apparemment un groupe d’investissement saoudien, a échoué en juin dernier. Embracer a lancé un plan de restructuration afin de limiter la casse, plan qui comprend malheureusement des licenciements, la traditionnelle réduction des coûts de fonctionnement et donc, peut-être, la revente de Gearbox.
Mozilla annonce mettre un terme à Pocket, son outil de sauvegarde d’articles et de pages Web, ainsi qu’à Fakespot, son...
Le paysage du streaming sportif évolue rapidement. Disney+ a décroché les droits de diffusion de la Ligue des champions...
Anthropic annonce le lancement de Claude Opus 4 et de Claude Sonnet 4, deux nouveaux modèles d’intelligence artificielle hybrides...
Chaque jour nous dénichons pour vous des promos sur les produits High-Tech pour vous faire économiser le plus d’argent possible. Voici...
Si les LLMs modernes ne sont pas exempts de défauts et continuent de commettre de belles boulettes, on note que la plupart du temps ces derniers...
22 May. 2025 • 19:23
Non, ils cherchent à garder le bénéfice à niveau pour préserver la valeur de leurs actions.
C’est une mauvaise solution à très court terme, car un employé licencié ne rapporte plus rien, mais ça maintient le niveau de vie et de bénéfice des (mauvais) dirigeant qui au final font payer leurs mauvaises décisions à leurs employées.
Ha, le Capitalisme.