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ProtonMail est en plein dans une polémique après avoir livré à la police française les adresses IP de plusieurs activistes. Le service d’e-mail, basé en Suisse, est souvent mis en avant pour ce qui est de la confidentialité, d’où la polémique.

Plusieurs militants français du collectif « Youth for Climate » ont fait l’objet d’une surveillance qui a été mise en place par les autorités françaises. La police française est passée par Interpol pour une demande d’information à ProtonMail. C’est cette boite e-mail que le collectif d’activistes utilisait. ProtonMail a transmis aux autorités suisses les adresses IP réclamées, avant qu’elles soit transmises à la police française.
Quelle est la polémique ? Sur son site, ProntonMail assure que « par défaut, nous ne gardons pas les logs d’IP qui peuvent être liées à votre compte de messagerie anonyme ». Le mot important ici est « par défaut ».
Sur son blog, ProtonMail explique avoir reçu des autorités suisses « un ordre juridiquement contraignant auquel nous sommes obligés de nous conformer. Il n’y avait aucune possibilité de faire appel de cette demande particulière ». Le service apporte également les clarifications suivantes :
Des changements vont tout de même avoir lieu. ProtonMail dit qu’il va clarifier la formulation sur son site pour mieux informer les internautes en ce qui concerne les obligations en cas de poursuites pénales. « Nous nous excusons si ce n’était pas clair », indique le groupe.
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La pub elle est jolie sur ton site mais t’es pas plus anonyme qu’un autre.