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Le hacker qui a récemment mis en vente les données de 1,2 million de demandeurs d’emploi de Pôle Emploi fait marche arrière. Il a décidé de ne finalement pas vendre la base de données.

Dans un message adressé à Zataz, le hacker de Pôle Emploi indique :
Je traite principalement avec de grosses structures commerciales qui économisent de l’argent sur la sécurité des données de leurs clients en embauchant des programmeurs bon marché et stupides qui font des erreurs triviales. Je fais de l’argent sur la vente de données à différentes agences de marketing et à des particuliers.
Quelqu’un m’a écrit en MP et m’a expliqué qu’il s’agissait d’une base de données gouvernementale sur les chômeurs. J’ai fait preuve d’empathie : je ne l’ai vendue à personne et je l’ai retirée de la vente. Dans une période aussi difficile, les institutions étatiques comme Pôle Emploi sont d’une grande utilité pour la société, et j’ai décidé de ne pas ruiner leur réputation.
Les chômeurs français peuvent dormir paisiblement, personne ne volera leurs données.
Les données récoltées de 1,2 million de demandeurs d’emploi chez Pôle Emploi étaient nombreuses. On retrouvait prénom, nom, âge, numéro de téléphone, ville, code postal, niveau de formation, nombre d’expériences, détention du permis de conduire, véhiculé ou non, métier désiré, données GPS, adresse e-mail et date de création du fichier.
Pour sa part, Pôle Emploi a annoncé ouvrir une enquête. Du côté de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL), une notification de violation de données est en cours d’instruction.
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