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Facebook a annoncé nommer un représentant légal en Turquie pour se soumettre à une loi controversée. Elle pourrait l’obliger à retirer des contenus sur injonction de la justice.
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« Nous avons décidé d’entamer le processus de désignation d’une entité juridique en tant que représentant local conformément à la loi », déclare Facebook au sujet de la Turquie. Le réseau social dit le faire « tout en reconnaissant l’importance pour notre plateforme d’être un lieu où les utilisateurs peuvent exercer leur liberté d’expression ».
À l’appel du président Recep Tayyip Erdogan qui voulait « mettre de l’ordre » dans les réseaux sociaux, le Parlement turc a voté en juillet une loi renforçant considérablement le contrôle des autorités sur les principales plateformes. Ce texte, entré en vigueur en octobre, oblige les réseaux sociaux avec plus d’un million de connexions uniques par jour à avoir un représentant en Turquie. Ils risquent sinon des sanctions. D’autre part, les plateformes ont pour obligation d’obéir aux tribunaux demandant le retrait de certains contenus sous 48 heures. Pour ses détracteurs, cette loi ouvre la porte à la censure.
En novembre, la Turquie a commencé à infliger des amendes de 10 millions de livres turques (plus d’un million d’euros) aux réseaux sociaux n’ayant pas encore de représentant à cette date. Cela concernait notamment Facebook.
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