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La Corée du Sud semble bien placée pour être l’un des premiers pays à passer à la fusion nucléaire (principe selon lequel deux noyaux atomiques légers s’unissent en un seul et libèrent une quantité importante d’énergie). Le 24 novembre dernier, le réacteur à fusion expérimental Korea Superconducting Tokamak Advanced Research (KSTAR) est parvenu à maintenir durant 20 secondes le plasma en fusion à une température ionique supérieure à 100 millions de degrés Celsius, soit plus de 7 fois la chaleur estimée au centre du soleil !
Le KSTAR est la recherche du soleil artificiel. Mais la routes est encore longue.
Cette expérience concluante a été planifiée par le centre de recherche KSTAR de l’Institut coréen de l’énergie de fusion (KFE), l’Université nationale de Séoul (SNU) et l’Université Columbia des États-Unis. Le précédent record pour un réacteur en fusion était de 8 secondes. Le KSTAR n’avait pas pu faire mieux qu’1,5 seconde en 2018. Prochain objectif : dépasser les 100 millions de degrés pendant 300 secondes d’ici 2025. Autant dire qu’un réacteur à fusion fonctionnant en continue à de telles températures n’est pas vraiment pour demain, ni pour après-demain…
SOURCESciencePost
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Il n’y a pas de « jusqu’au jour où » car à l’inverse de la fission nucléaire qui peut entraîner une réaction en chaîne (et faire boom), la fusion nucléaire nécessite des conditions très précises pour se déclencher. S’il y a une faille, la réaction s’effondre et rien ne se passe.
C’est d’ailleurs le gros point de recherche, réussir à maintenir les conditions nécessaires à la fusion le plus longtemps possible. Car un réacteur à fusion consomme de l’énergie pour fonctionner, et l’objectif est de réussir à en produire plus que l’on en consomme