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Il faut faire attention à ce que l’on dit sur Facebook et les autres réseaux sociaux, même sur son compte privé. Pourquoi ? Parce que cela peut être un motif légitime de licenciement, comme l’ont décidé les magistrats de la Cour de cassation.
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Tout est parti d’une affaire avec Petit Bateau. En 2014, une cheffe de projet de la marque de vêtements pour enfants publie sur son compte Facebook personnel une photo de la nouvelle collection printemps-été pour la saison 2015. L’image n’avait été présentée qu’aux commerciaux de Petit Bateau et était donc confidentielle. Malgré cela, l’employée l’a publiée sur son compte Facebook personnel qui est seulement accessible pour les personnes avec qui elle est amie.
Une amie, justement, remarque le cliché de sa collègue et partage l’information avec sa direction. Ni une ni deux, Petit Bateau licencie la cadre qui a publié la photo. Celle-ci s’est défendue, en estimant que c’était une atteinte à la vie privée, puisque le cliché avait été publié son compte qui n’est pas accessible au public. Petit Bateau lui a répondu avoir repéré que certains de ses amis Facebook travaillent pour des sociétés concurrentes, ce qui est un problème au vu de la photo.
Aujourd’hui, la justice a tranché : le licenciement de la cadre de Petit Bateau est légal. Les juges de la Cour de cassation reconnaissent qu’il y a bien eu atteinte à la vie privée. Pour autant, le licenciement est valable parce que le droit à la preuve le justifie.
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