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Alors que Facebook travaille d’arrache-pied pour se sortir de cette image d’entité qui laisse passivement la haine et la désinformation se répandre sur son réseau, surtout depuis la dernière série particulièrement virulente de Donald Trump, une nouvelle affaire vient de tomber qui ne va pas aider la firme. D’après des documents obtenus par NBC News, on aurait désormais des preuves que les employés de la plateforme interfèrent régulièrement dans les processus de fact-checking pour éviter tout « PR risk », comprenez tout risque compromettant les bonnes relations de l’entreprise avec des conservateurs haut-placés, qu’il ne faudrait certainement pas contrarier.
Concrètement, quand les organismes de vérification d’informations tiers repèrent et marquent du contenu comme relevant de la désinformation, les publications concernées voient leur visibilité baisser, et sont plus difficiles à voir dans les fils d’actualités des utilisateurs. Partagez ce genre de contenu plusieurs fois, et c’est l’avertissement de Facebook. Au bout d’un certain nombre d’avertissements, les pages sont punies et ne peuvent plus bénéficier de revenus publicitaires sur la plateforme. Seulement, les personnes gérant les plus grosses pages du réseau social, soit celles ayant le plus d’abonnés, peuvent faire appel de ces décisions. C’est là que l’équipe Facebook entre en jeu, et a su se montrer bien complaisante. Un employé ayant remis en question ces procédés aurait même été renvoyé pour avoir fait part de son avis sur les forums internes de la société.
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21 Nov. 2024 • 22:43
21 Nov. 2024 • 20:09
21 Nov. 2024 • 18:56
21 Nov. 2024 • 18:44
Une fake-news peu importe quelle soit vrai ou non , et dans bien des cas impossible de valider ou d’invalider ses propos , en partant de là , qui décide de bannir tel ou tel news ? Sur quel donnée factuelle , vérifiable se basent-ils ?