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Reuters vient sans doute de lever un lièvre, et les conclusions risquent de ne pas plaire à Huawei. Il semblerait en effet que les autorisations 5G délivrées par l’ANSSI ne soient pas automatiquement renouvelables. En d’autres termes, les accords de collaboration « 5G » passés entre Huawei et les opérateurs SFR et Bouygues Telecom deviendraient totalement caduques à l’horizon 2028. Les sources de Reuters affirment en outre que le sort de Huawei sera définitivement scellé au terme des huit ans à venir, ce qui fait écho aux propos récents et un brin ambigus du directeur de l’ANSSI Guillaume Poupard.
Ainsi, les déclarations de bonnes intentions du gouvernement français cacheraient une réalité plus prosaïque : Huawei n’accéderait plus au réseau 5G français d’ici huit ans et le géant asiatique peut sans doute craindre une mesure de rétorsion encore plus rapide sur la 6G. La France aura donc voulu épargner à court terme les investissements 5G de Bouygues et de SFR tout en suivant de loin les recommandations américaines concernant une entreprise soupçonnée d’espionnage et de collusion avec le gouvernement chinois.
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14 Dec. 2024 • 16:05
13 Dec. 2024 • 20:49
13 Dec. 2024 • 20:22
C’est tout ce qu’il y a de plus normal , en quoi est ce différent dans ce cas de figure ?
Nous pouvons le regretter, mais c’est bien la meilleure décision à prendre, compte tenu de nombreux éléments de contexte, qui si l’on les analyse, un à un, ne laisse aucun doute sur ce qu’il convient de faire.
Sans énumérer l’ensemble des éléments qui sont nombreux, juste un éclairage sur quelques uns d’entre eux.
En 2012 sortait en interne, un document du PCC, le fameux document n° 9, qui reprenait un certain nombre de principes à ne pas discuter au sein du parti et encore moins dans l’ensemble du pays. Ce document a pu être porté à la connaissance du monde entier et pas sans conséquences, pour ceux qui l’ont fait.
Ce que dit ce document de nous et par voie de conséquence de ceux qui l’ont rédigé a de quoi faire froid dans le dos. Renseignez-vous et soyez curieux, vous ne perdrez pas votre temps.
Toujours en 2012, la filiale HiSilicon de Huawei (fondeur silicium de ce géant) sortait une famille de processeurs HI35xx d’architecture Arm, sous licence, dédié à l’environnement des IoT orienté caméras. Ce processeur dédié est présent sur des millions de mini cartes mères d’une grande majorité de caméras de vidéo surveillance, avec de très grandes marques. Bien souvent, ces caméras de vidéo surveillance sont animées par un processeur de cette famille HI, avec un noyau Linux 2.x.x pour les plus communes et d’autres OS pour d’autres fabricants.
Une alerte de sécurité a mis en évidence une faille majeure, dans les puces de cette famille, avec une vulnérabilité avérée permettant la récupération des informations écrites en clair, comme adresse mail, compte, password, …
Sympa pour ceux qui mettent le même mot de passe pour tout ou presque. Sauf à charger un nouveau firmware dans l’équipement, la faille de sécurité demeure ouverte et les password accessibles.
Combien d’utilisateurs ou d’entreprises mettent à jour les firmwares de leurs caméras, une fois qu’elles sont installées et en fonction ?
Il s’agit juste d’une illustration des conséquences possibles d’usage de processeurs du fondeur silicium HiSilicon du géant Huawei.
Et maintenant, avec l’accès restreint au marché actuel des processeurs disponibles, depuis l’embargo décrété par l’oncle Sam sur la technologie, que pourrait être tenté de faire Huawei, pour animer les cartes mères de ses équipements qu’il fabrique, sachant qu’il dispose de son propre fondeur de silicium HiSilicon ?
Des processeurs HiSilicon dans des équipements Huawei, avec l’indépendance sur des composants de base, lui permettant de s’affranchir des contraintes externes ?
Et si cette hypothèse devait se vérifier avec le temps, dans les équipements à venir, quelle garantie pour les clients, du respect des spécifications et d’absence de fonctions « inattendues, pour ne pas dire indésirables » ?
Déjà que le code source des logiciels internes, enfouis dans les équipements 5G du fabricant ne sont pas publiés (exactement comme ses concurrents), comment pouvoir « être tranquille », maintenant que les velléités de cette grande nation viennent d’éclore au grand jour, cette année 2020 ?
Le monde entier est dans le doute, avec l’affaire du Covid natif du Wuhan, avec ce sujet du P4 Wuhan mis en place via des transferts de technologies, dont les contres parties de coopérations n’ont pas été respectées ?
Le monde entier n’a plus vraiment des motifs de douter, maintenant, depuis le début de ce mois, avec ce grand pays qui s’assoit, sans autre forme, au grand jour, sur le traité international HK de 1997.
Alors franchement, la messe n’est-elle pas dite ? Aurions-nous vraiment besoin de plus d’éléments pour prendre position ?
Chacun fait ce qu’il veut, mais avec la crise Covid qui a déjà fait apparaître toutes les dépendances, dont certaines critiques, que nous avons déjà, serait-il bien raisonnable d’en rajouter ?
Un seul mot pour résumer tout cela, soyons « lucide », juste « lucide » et prenons notre destin entre nos mains.
Ils nous parlent de failles dans ce qu’ils cherchent, donc dans les produits de la marque, mais qu’en est-il des autres (surtout ceux des mastodontes américains dont tout le monde voit leur gigantesque igérences dans nos vies quotidiennes et ces bases de données rapatriées aux USA, pays à la souveraineté douteuse !)
un peu comme le cartel sur les ampoules electriques qui avaient imposé leur premier cas de figure obsolescence programmée, notez que ça gravite toujours de l’Atlantique (États-Unis, à la GB)
Associated Electrical Industries (en) (Royaume-Uni)
General Electric (États-Unis)
Osram (Allemagne)
Philips (Pays-Bas)
Tungsram (Hongrie)
La Compagnie des Lampes (France) absorbée par la
CGE (Compagnie Générale d’Électricité) devenue Alcatel