Comparateur
- AUTO
L’année dernière, Facebook avait attaqué en justice NSO Group, une entreprise de surveillance israélienne qui aurait utilisé Whatsapp pour propager ses spywares à plus de 1400 appareils dans une vingtaine de pays. Le client de la firme n’avait pas été révélé, on sait cependant que des journalistes, activistes pour les droits de l’homme, et autres dissidents politiques ont été les cibles privilégiées de cette opération. Ce procès vient de prendre une autre tournure, puisque Pegasus, la technologie de surveillance en question, aurait été utilisée depuis QuadraNet, un service basé à Los Angeles, plus de 700 fois.
Ce développement vient directement contredire l’histoire initiale de NSO, qui avait à l’époque affirmé ne pas pouvoir opérer depuis les Etats-Unis, et a donc considérablement renforcé les soupçons qui pèsent sur la société. Si ces accusations arrivent à convaincre des juges, le groupe aura du mal à s’extirper de la situation : même si il avait très tôt annoncé compter parmi ses clients de nombreux gouvernements, aucun n’a été nommé, ce qui ne permet pas la soi-disant immunité que la firme annonçait depuis le début de cette affaire.
SOURCEengadget
Après les rumeurs, place au lancement de TikTok Notes, un nouveau social qui vient concurrencer Instagram. Quelle différence avec TikTok qui...
Des scientifiques de l’Imperial College de Londres viennent de bouleverser le domaine de l’informatique quantique, un domaine qui cherche...
Mozilla propose la version stable de Firefox 125 au téléchargement et il ne s’agit pas d’une petite version. En effet, la mise...
Meta tape dur sur le secteur de l’IA. Ce même jour, la firme de Mark Zuckerberg annonce le lancement de Llama 3, un modèle de langage...
La Chambre américaine des représentants va à nouveau examiner une proposition de loi qui prévoit l’interdiction de...
18 Apr. 2024 • 20:33
18 Apr. 2024 • 18:42
18 Apr. 2024 • 18:41
Pour agir cette societe est mandaté par les services des differents gouvernements.