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L’année dernière, Facebook avait attaqué en justice NSO Group, une entreprise de surveillance israélienne qui aurait utilisé Whatsapp pour propager ses spywares à plus de 1400 appareils dans une vingtaine de pays. Le client de la firme n’avait pas été révélé, on sait cependant que des journalistes, activistes pour les droits de l’homme, et autres dissidents politiques ont été les cibles privilégiées de cette opération. Ce procès vient de prendre une autre tournure, puisque Pegasus, la technologie de surveillance en question, aurait été utilisée depuis QuadraNet, un service basé à Los Angeles, plus de 700 fois.
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Ce développement vient directement contredire l’histoire initiale de NSO, qui avait à l’époque affirmé ne pas pouvoir opérer depuis les Etats-Unis, et a donc considérablement renforcé les soupçons qui pèsent sur la société. Si ces accusations arrivent à convaincre des juges, le groupe aura du mal à s’extirper de la situation : même si il avait très tôt annoncé compter parmi ses clients de nombreux gouvernements, aucun n’a été nommé, ce qui ne permet pas la soi-disant immunité que la firme annonçait depuis le début de cette affaire.
SOURCEengadget
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Pour agir cette societe est mandaté par les services des differents gouvernements.