TENDANCES
Comparateur
- AUTO
Le lancement de Stadia est quelque peu compliqué. Peu de jeux sont disponibles sur le service de cloud gaming de Google pour l’instant et cela semble être lié en partie à l’argent. Plusieurs studios estiment que Google n’offre pas assez d’argent pour les pousser à porter leurs jeux sur Stadia, selon les informations de Business Insider.
Il y a aussi le cas des développeurs indépendants. L’un d’entre eux explique avoir été approché par l’équipe de Stadia et il a été étonné par la proposition en comparaison avec celles des autres services comme Steam ou l’Epic Games Store. Dans le cas de Stadia, le prix proposé est bas et Google offre très peu de bonus qui pourraient tenter un développeur à sauter le pas et proposer ses jeux sur la plateforme. Les bonus chez Stadia sont « en quelque sorte inexistants », explique le développeur indépendant.
Un autre problème évoqué par les studios est le long terme. Certains ont peur que Google abandonne complètement Stadia à l’avenir et n’ont donc pas envie de dépenser des ressources pour porter leurs jeux sur le service. Pour information, Google a cette réputation d’abandonner des services quelques années seulement après leur disponibilité.
Stadia compte 28 jeux aujourd’hui et Google promet d’en ajouter plus de 100 en 2020. Cet argument ne suffit pas aux studios, qui préfèrent des valeurs sûres comme la PlayStation de Sony, la Switch de Nintendo, la Xbox de Microsoft ou le PC tout simplement.
Le réseau mobile et fixe de Free a connu une grosse panne dans une partie de la France ce mercredi. Il n’était plus possible...
Si l’on en croit des documents internes consultés par Business Insider, Amazon Web Services développerait un nouvel outil de...
TikTok a annoncé cette semaine un investissement d’un milliard d’euros dans la construction d’un nouveau data center en Europe et...
Les premières images de l’Asus ROG Ally 2 ont été dévoilées via des documents réglementaires,...
Samsung vient de réaliser une énorme passe de 5 à un prix que d’aucuns jugeront raisonnable : Harman International, la filiale...
5 commentaires pour cet article :