TENDANCES
Comparateur
- AUTO
Le vidéaste Dave Cooper en veut beaucoup à Adobe, et pour cause : un bug dans le logiciel de backup sous Premiere Pro (Clean Cache) a effacé des centaines de Go de données vidéo, soit la quasi totalité des créations du vidéaste ! Adobe était au courant du bug et a rapidement proposé un correctif, mais malheureusement pour Dave, ce dernier est arrivé un peu trop tard. Les 90 000 clips effacés par le bug représenteraient un préjudice de 250 000 dollars, un montant que Dave Cooper a réclamé à Adobe en guise d’ « arrangement » à l’amiable; malgré les risques de bad buzz, les avocats d’Adobe ont refusé cette proposition d’arrangement, ce qui signifie que l’affaire se règlera désormais devant les tribunaux (où il y aura sans doute bien plus à gagner que 250 000 dollars du reste). Malgré la déconvenue du vidéaste, et si les faits rapportés sont bien ceux-là, il semble tout de même que toutes les mesures de sauvegarde des données n’aient pas été prises (NAS + disques RAID par exemple), ce qui explique peut-être l’intransigeance des avocats d’Adobe.
Lors de la conférence I/O 2025, Google a dévoilé Project Aura, une paire de lunettes connectées qui a été...
Lors de la conférence I/O 2025, Google a annoncé l’élargissement de l’accès au Project Mariner, son agent IA...
À l’occasion de la conférence I/O 2025, Google a dévoilé une refonte de ses offres d’abonnement pour Gemini....
Lors de la conférence I/O, Google a dévoilé des améliorations pour les réponses intelligentes de Gmail. Grâce...
J’ai payé une licence pendant 8 mois, je me suis fait viré de mon taf parce que je leur ai dit que produire des visuels via des versions craquées d’Adobe était illégal.
J’ai rapporté cette histoire à Adobe qui m’a répondu »on n’approuve pas ».
Donc surtout ne payez pas un centime à cette bande de voleur qui n’a plus jamais répondu à mes questions (service client ???) depuis que je leur ai demandé au nom de quoi j’ai payé alors qu’ils n’approuvent juste pas qu’on les vole.
Aucune plainte, aucune poursuite non rien que du mépris et de l’injustice.
Adieu adobe