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Décidément, l’Europe est devenue le cailloux dans la chaussure des géants de la high-tech. Imposition, vie privée, respect de la concurrence, la Commission Européenne ne laisse rien passer, quitte à agiter un chiffon rouge devant une administration américaine peu encline à la diplomatie commerciale.

Dernier cheval de bataille de la Commission, une proposition de régulation des plates-formes numériques, c’est à dire les boutiques en lignes et autres services internets qui sont de venus de facto incontournables pour la plupart des internautes.
Le texte de la Commission se fixe pour objectif de contraindre les acteurs du web à plus de transparence, et cette fois, sous l’impulsion de la commissaire Margrethe Vestager, les contraintes envisagées sont bien plus lourdes que ce qui était prévu dans la première mouture du projet.
Ainsi, il ne sera plus possible de modifier les conditions d’utilisation d’une plateforme (de vente d’apps par exemple) sans justifier les changements auprès des utilisateurs. De plus, et toujours dans le cas des modifications des CLUF, les utilisateurs devront disposer d’un temps de « préparation » de 15 jours avant que les modifications soient effectives. Ce nouveau projet de « transparence » sera normalement présenté par la Commission dans le courant de cette semaine. les GAFA peuvent commencer à trembler…
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