TENDANCES
Comparateur
- AUTO
Quand on parle de messagerie chiffrée, on entend souvent les mêmes noms qui reviennent : Telegram, Signal, WhatsApp ou encore iMessage. Il se trouve que les ministres français utilisent justement Telegram pour communiquer. Mais l’application va bientôt être remplacée par une solution maison.

Mounir Mahjoubi, le secrétaire d’État au Numérique, a fait la révélation au micro de France Inter. « Nous travaillons à une messagerie publique chiffrée, qui ne sera pas dépendante de l’offre privée », a-t-il expliqué. Développée par la Direction interministérielle du numérique (DINSIC), elle sera inspirée de WhatsApp et Telegram et verra le jour dès cet été si tout se déroule comme prévu. L’application sera destinée aux ministres au départ, puis aux membres de l’administration et des collectivités territoriales plus tard. Les députés et les sénateurs seront mis de côté, au lancement du moins.
Dans l’immédiat, rien ne dit que les Français ou n’importe quelle autre personne dans le monde pourra utiliser l’application sur son smartphone. En effet, il est fort possible qu’elle soit réservée aux politiques — même sur le long terme. Le secrétaire d’État au Numérique a été plutôt vague sur le sujet, il faudra probablement attendre les prochains mois afin d’en savoir plus sur le sujet.
En parlant d’être vague, Mounir Mahjoubi n’a pas expliqué pourquoi l’État a décidé de ne plus utiliser Telegram, une application prisée par la classe politique.
Après des mois de rumeurs, Microsoft a officiellement annoncé Halo: Campaign Evolved, un remake complet du jeu culte de 2001, Halo: Combat...
À peine lancé pour concurrencer Google Chrome, le navigateur ChatGPT Atlas d’OpenAI s’apprête déjà une...
Conçu par la société Foundation, le Phantom MK-1 marque un tournant dans la technologie robotique militaire. Présenté...
Face aux critiques concernant les problèmes graphiques et les ralentissements sur ses smartphones Pixel 10, notamment dans les jeux, Google a...
L’industrie allemande est en alerte. Après la crise des semi-conducteurs de 2021, un nouvel épisode de tensions se profile autour de...
4 commentaires pour cet article :