TENDANCES
Comparateur
- AUTO
Si le gouvernement de Nouvelle-Zélande explique ne pas avoir de motifs juridiques de plainte contre Kim Dotcom, ce dernier estime pour sa part ne pas avoir bénéficié de suffisamment de protections contre les agissements du FBI; l’enfant terrible du web, ancien gestionnaire du site de téléchargement Megaupload), vient d’attaquer en justice le gouvernement néo-zélandais et réclame 6,8 milliards de dollars pour l’ensemble des préjudices subis.
Mais quels sont donc les préjudices qui pourraient justifier un tel niveau de compensation financière ? Selon Kim Dotcom, le gouvernement de Nouvelle-Zélande aurait permis la « destruction » de ses très lucratives activités, favorisé la perte de sa réputation, fait perdre des opportunités d’affaires, sans même parler de la dégradation de ses biens personnels récupérés un temps par les autorités américaines (avant d’être renvoyées dans un très sale état).
Enfin, Kim Dotcom estime que les demandes d’extradition des Etats-Unis n’ont aucune base juridique en Nouvelle-Zélande, où la copie numérique de données sous copyright n’est pas considérée comme un crime. Ce « mouvement d’humeur » de Dotcom intervient quelques semaines seulement avant une échéance importante; c’est en effet le 20 février prochain que la Nouvelle-Zélande doit à nouveau examiner une énième requête américaine pour l’extradition de Kim Dotcom.
SOURCEengadget
Après avoir imposé le port USB-C sur les appareils électroniques comme les smartphones, la Commission européenne annonce de...
Nintendo met tout en œuvre pour que la Switch 2 connaisse un succès historique. L’entreprise a demandé à ses fournisseurs...
Face à la multiplication des messages non sollicités, WhatsApp s’apprête à tester une nouvelle arme pour lutter contre le...
Les firmes d’Elon Musk cumulent les polémiques en cette fin de semaine, et après Tesla, c’est au tour de SpaceX de se retrouver...
L’Arcep a donné son feu vert à la prolongation de l’accord d’itinérance entre Free Mobile et Orange. Ce contrat...
17 Oct. 2025 • 20:51