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Une sacrée pagaille se présente du côté des hôpitaux britanniques. Le système informatique de National Health Service, à savoir le système de la santé publique du Royaume-Uni, a connu un ransomware ce vendredi.

Le ransomware est assez dérangeant parce qu’il peut être difficile à supprimer. Un ransomware signifie que les hackers ont chiffré les fichiers présents sur les ordinateurs des hôpitaux et empêchent le personnel hospitalier d’y accéder. Une seule solution pour avoir de nouveau un contrôle sur les ordinateurs et donc les fichiers : payer. En l’occurrence, l’équivalent de 300 dollars est réclamé et doit être payé en Bitcoin. Un délai de trois jours est donné pour payer. Une fois ce délai passé, le prix doublera. Si rien n’est fait d’ici une semaine, tous les fichiers seront supprimés.
Le National Health Service a réagi sur à ce ransomware. Selon les premiers éléments de l’enquête, le ransomware est une variante de Wanna Decryptor. Le système de la santé publique du Royaume-Uni ajoute ne pas savoir si les données des patients ont été consultées par les hackers dans l’immédiat et va continuer de travailler avec les autorités compétentes pour tenter de débloquer la situation.
En réalité, les hôpitaux britanniques ne semblent pas être les seuls concernés par ce ransomware. L’opérateur espagnol Telefónica est concerné également, ainsi que des banques.
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