Comparateur
- AUTO
Depuis novembre dernier, la Russie bloque l’accès à LinkedIn. Le réseau social est accusé de violer une loi controversée concernant le stockage des données. Les deux partis ont tenté de discuter pour mener à un accord, mais celui-ci n’a pas été trouvé.
Roskomnadzor, l’autorité russe de régulation des télécommunications, a indiqué avoir reçu une lettre de LinkedIn l’informant que le réseau social n’était pas disposé à mettre en œuvre les dispositions encadrant le stockage de données. La législation russe prévoit que les sites Internet qui conservent les données personnelles de citoyens russes le fassent sur des serveurs implantés en Russie, une disposition à laquelle LinkedIn ne s’est pas conformée.
De son côté, LinkedIn estime qu’il respecte toutes les lois en vigueur en Russie. Il espère toujours que son service sera de nouveau accessible sur place un jour ou l’autre, mais l’affaire semble mal partie pour l’instant si le réseau social campe sur ses positions et ne fait pas le moindre changement demandé.
Pour rappel, LinkedIn est une propriété de Microsoft depuis peu. Microsoft a déboursé 26 milliards de dollars pour acquérir le réseau social qui dispose de 460 millions d’utilisateurs dans le monde.
Le Pixel 8a, le prochain smartphone de Google, va bénéficier de 7 ans de mises à jour logicielles. C’est déjà le...
La Commission européenne a ajouté Shein, le champion du prêt-à-porter bon marché, à la liste des très...
Après Huawei et bientôt TikTok, DJI pourrait à son tour faire ls frais de la guerre technologique et commerciale que se livrent la...
Amazon fait savoir que le Prime Day 2024 se tiendra dans le courant du mois de juillet. Il n’y a pas encore le jour précis pour cet...
Finis les rails coulissants : la Nintendo Switch 2, dont on désespère d’avoir une date de sortie, serait équipée...
26 Apr. 2024 • 19:37
26 Apr. 2024 • 17:03
On retrouve le même son de cloche en Europe avec le Privacy Shield qui perd pied chaque jour un peu plus. Et ce n’est pas l’administration Trump qui va faire changer la donne.
Au final, ne pouvant garantir les mêmes protection aux USA qu’en Europe, les Entreprises américaines devront certainement stocker les données sur le sol Européen.