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Uber n’en finit plus d’alimenter les fils d’information technologiques, et de moins en moins souvent pour des nouvelles « positives ». Entre les soucis légaux dans de nombreux pays (interdiction d’exercer ou applications), un CEO qui perd son sang-froid, les accusations de vol de brevets par Google ou bien encore les plaintes pour harcèlement dont font l’objet certains chauffeurs, Uber alimente plus souvent la rubrique des faits divers que celle des projets technologiques. Cette mauvaise passe ne risque pas de s’arrêter de sitôt si l’on en croit le New-York Times, qui vient de lever un lièvre de la taille d’une sanglier : en effet, Uber a avoué avoir placé à l’intérieur de son app un logiciel espion dont l’objectif est de permettre à ses chauffeurs d’échapper à la police !
Baptisé Greyball, ce logiciel indique aux chauffeurs si des représentants des forces de l’ordre se trouvent à proximité, de façon à éviter d’être pris sur le fait (évidemment, cela concerne les pays où Uber est interdit). La façon dont Uber alimente ce logiciel espion est encore plus inquiétante puisque la société récupère la géolocalisation des apps qui viennent d’être ouvertes et contrôle aussi la provenance des cartes bleues enregistrées dans l’App, afin de vérifier si celles-ci sont liées à une caisse de crédit de la Police. Bien planqué dans la rubrique des « Violation des conditions de service« , le logiciel permet aussi de connaitre la position des concurrents présents sur le secteur ou rencarde sur la demande de VTC d’un client que l’historique de la base de données décrit comme étant violent.
A partir des différentes données récupérées, Uber peut à distance conseiller ses chauffeurs, leur signalant par exemple un client « peu fiable » (possiblement un policier donc); mais le pire est bien que suite ces déclarations, Uber reconnait que l’app est encore utilisée dans certains pays : « Ce programme empêche les demandes d’utilisateurs frauduleux qui violent les termes de service, a précisé Uber dans un communiqué transmis au site The Verge. Que ce soit des gens qui veulent s’en prendre physiquement aux chauffeurs, des concurrents voulant perturber nos opérations, ou des adversaires qui s’allient aux autorités pour des opérations secrètes visant à piéger nos conducteurs. » Si en plus Uber reconnait ses torts…
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La concurrence il y a que ca de vrai !
Perso je prends plus que le uber et tant mieux si ils sont averti que certain client sont des flics ça leur évite des ennuis et comme ça ils peuvent continuer à fournir un service de qualité et conçurent au taxis
Alors pour l instant tu es gagnant mais quand meme ton travail sera soumis a une autre entreprise uberisé tu chanteras moins