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Kaspersky est en train de vivre une mauvaise période avec les institutions de plusieurs pays. L’administration américaine a récemment décidé de se séparer du célèbre antivirus, estimant qu’il avait des liens avec la Russie et pouvait faire de l’espionnage. L’éditeur russe fait face à une situation tendue entre les États-Unis et la Russie, et ce depuis plusieurs mois maintenant. Il se trouve que la France le pointe également du doigt.
Selon L’Express, le ministère des Armées en France cherche à se passer des outils de Kaspersky. Le travail a déjà commencé en réalité puisque le ministère de la Défense a décidé de réduire l’usage des outils de Kaspersky pour préférer ceux du groupe anglais Sophos et du groupe japonais TrendMicro.
Pourquoi l’armée française veut-elle se séparer de Kaspersky ? A-t-elle peur d’un espionnage ? « Nous étions trop dépendants de Kaspersky, une société, certes très performante, mais dont les liens entretenus avec l’État russe nous inquiètent », indique un proche du dossier. « Cette décision a été prise avant même les États-Unis mais le mouvement s’est accéléré cet été après les dégâts causés par WannaCry », a-t-elle ajouté. Pour rappel, la Russie est accusée d’avoir un lien avec le ransomware WannaCry.
Par ailleurs, le piratage de La République en marche, à savoir le parti politique d’Emmanuel Macron, pendant la dernière campagne présidentielle, a renforcé l’idée de se séparer de Kaspersky. Là encore, les Russes ont été accusés d’être les auteurs du piratage qui a donné accès à 9 Go de fichiers avant le second tour de l’élection opposant Emmanuel Macron à Marine Le Pen.
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