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L’affaire avait fait grand bruit et semblait être le « mauvais coup de trop » pour Uber; on apprenait en effet il y a quelques jours qu’un spyware maison baptisé Greyball avait été intégré par Uber dans son app maison pour permettre aux chauffeurs d’éviter de récupérer des clients susceptibles d’être des policiers en civil désirant les prendre en flagrant délit de course non autorisée (dans les villes ou les pays où les services d’Uber sont interdits bien sûr).
Le logiciel espion – qui aurait été utilisé à Boston, Paris, Las Vegas et d’autres villes – recoupait les informations des nouveaux clients UBER inscrits via l’app (celle-ci demande à rentrer un code de carte bleue) afin de déterminer si leur profil correspondait à celui d’un représentant des forces de l’ordre; en cas de doute, Uber informait alors son chauffeur qui refusait alors de prendre le client. Face à la polémique, Uber vient d’annoncer par voie de communiqué qu’il ne se servira plus de Greyball pour tenter d’éviter les autorités, une promesse qui prend tout de même les allures d’un chèque en blanc, et ce d’autant plus que Greyball ne sera pas retiré de l’application mobile.
Ce communiqué tranche en tout cas avec les déclarations précédentes du porte-parole d’Uber, qui avouait dernièrement avec un certain cynisme que Greyball servait bien à éviter les clients qui « tentent de piéger les chauffeurs » .
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