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Google est en plein dans le viseur du fisc français. Ce dernier réclame 1,6 milliard d’euros au groupe américain pour des arriérés d’impôts, selon l’AFP. Le ministère de l’Économie n’a pas voulu commenter le dossier, invoquant « le secret fiscal ».

Attention, cela ne signifie pas que Google va devoir obligatoirement payer cette somme. Il va y avoir des recours, et peut-être au bout du bout une négociation, notamment sur les pénalités. Ce chiffre a été rendu public alors que le patron de Google, Sundar Pichai, se trouve à Paris, où il a rencontré ce soir le ministre de l’Économie Emmanuel Macron. Il est fort possible que les deux hommes aient évoqué le sujet lors de leur rencontre.
Pourquoi une telle somme ? En juin 2011, plusieurs perquisitions et saisies avaient été réalisées dans les locaux parisiens de Google France, dans le cadre d’une enquête sur les « prix de transfert » entre la branche française de la société américaine et sa filiale irlandaise. Comme d’autres multinationales, Google passe par l’Irlande pour échapper aux impôts de chaque pays (ou du moins, en payer le moins possible). L’Irlande a l’avantage de proposer une fiscalité très faible sur les bénéfices des sociétés, à savoir 12,5%.
En France, Google emploie 700 personnes. Le groupe y a réalisé un bénéfice de 12,2 millions d’euros en 2014. Les chiffres de 2015 ne sont pas connus pour l’instant.
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