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Le navigateur Opera n’est pas dans une très grande forme; face aux poids de plus en plus écrasant des 4 leaders du marché (Chrome, IE, Firefox et Safari), Opera a du mal à exister et se retrouve avec un peu plus de 1% de parts de marché sur desktop et à environ 5% sur mobile, autant dire un marché d’ultra-niche…

Afin de relancer la machine, et sans doute aussi pour trouver de nouvelles ressources qui permettraient à nouveau d’innover de façon ambitieuse (et il faudrait bien ça face à la marche en avant de Chrome), l’éditeur Opera Software s’est mis à la recherche d’éventuels repreneurs ou partenaires, toute les options ayant été posées sur la table par le conseil d’administration de l’entreprise; un communiqué d’Opera Software officialise cette recherche de « stratégies alternatives » et informe que le cabinet ABG Sundal Collier ainsi que Morgan Stanley International tiendront le rôle de conseillers financiers durant la période à venir.
Des annonces sur l’avancement des négociations avec ces repreneurs/partenaires auront lieu d’ici la fin de l’année, histoire de rassurer (ou pas) les investisseurs. Le temps se couvre donc pour Opera, qui vient de licencier une partie de son personnel et semble ne plus trouver de second souffle dans une bataille où les acteurs sont il est vrai de force et de ressources très (trop) différentes.
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