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L’ESA, l’Agence Spatiale Européenne, pourra piocher dans un budget record de 7,8 milliards d’euros en 2024, ce qui représente une augmentation de budget de 10% par rapport à 2023. Tout ce qui concerne l’observation terrestre récupère 30,5% de ce budget, soit 2,37 milliards d’euros. Les division de l’ESA consacrées au transport spatial et à la navigation récupèrent chacun un peu plus d’un milliard d’euros (environ 13% du budget global) et les technologies pour l’exploration humaine et/ou robotique récoltent 874 millions d’euros (11,2% du budget). Les programmes scientifiques sont assez bien placés dans cette réparition de fonds, avec pas moins de 632 millions d’euros pour 2024 (8,1% du budget). La part la plus faible va aux accords de coopération entre Etats Européens, un pole d’activité plus administratif que technique ou scientifique et qui devra se contenter de 5,9 millions d’euros, soit à peine 0,1% du budget global.
Le directeur général de l’ESA, Josef Aschbacher, s’est bien sûr félicité de cette augmentation des fonds, précisant que le budget devrait encore progresser les prochaines années, mais probablement dans de moindres proportions. La plus grosse mission de l’ESA cette année sera sans doute de réussir le vol inaugural d’Ariane 6. Cette mission est d’autant plus sensible qu’à cause de l’arrêt d’Ariane 5 et du retard pris par Ariane 6, l’ESA n’assure plus de lancement de satellites ou de sondes spatiales depuis le mois de juillet 2023, une vacance qui a logiquement profité à l’américain SpaceX
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